La barque mystérieuse
Tourbière monde à part
Un véritable village
L'Homme et la forêt
Mas de La Barque
Occupé uniquement par une maison forestière à la fin du siècle dernier, le Mas de la Barque a été fréquenté par les clubs de ski pour enfants à partir des années 1960, puis par les familles gardoises pendant les week-ends. En semaine, l'association « union pour l'animation de la Grange » organisait des classes vertes, des classes patrimoines et des journées à thème tout public. Des infrastructures coûteuses ont été progressivement mises en place (bâtiments, remontées mécaniques, canons à neige) puis partiellement démolies. Aujourd’hui, dans le cadre d'un programme global de requalification du site, l'aménagement touristique (domaine de ski de fond, raquettes, traîneaux, gîtes...) a été réalisé et est géré par une société d'économie mixte. La station propose des activités de pleine nature, été comme hiver.
Mas de la Barque
Inaugurée en 1968, la petite station familiale du mas de la Barque a été créée pour répondre aux attentes des populations de proximité. Mais en 1981 les précipitations sont déficitaires en neige, en 1982 l'hiver est doux, en 1983 l'année est très chaude, en 1984 et 1985 les années sont très froides (record : - 23.5° ). Ces aléas climatiques ont orienté peu à peu l'activité de la station vers le ski de fond et mené progressivement à l'arrêt du ski alpin à partir de 1994.
La mort d'un arbre
Bisous d'arbres
La Hêtraie Sapinière
Il s'agit d'une forêt de protection et de production. Le sapin pectiné est un bois d’œuvre ; le hêtre aussi appelé fayard sert de bois de chauffage. Mais ces arbres servent avant tout à maintenir les sols, freiner le vent, et arrêter la neige en altitude. Les conditions météorologiques extrêmes de ce milieu montagnard (brouillards, orages violents, chutes de neige importantes, sécheresses) rendent le développement de la forêt aléatoire... Les vieux hêtres ont été coupés ; seuls ont été conservés les jeunes qui croissent en hauteur et assurent la régénération de la hêtraie. Le pin à crochets, planté il y a plus de 80 ans, est une essence montagnarde frugale s'accommodant des sols pauvres.
Description
Le long de l'itinéraire, des poteaux directionnels vous guident, dont le nom de lieu-dits et/ou de direction à suivre, est indiqué en italique gras et "entre guillemets" dans le descriptif ci-dessous:
Depuis « Mas de La Barque », direction « Gardièze » par « Martelet ».
À « Gardièze », prendre à droite direction « Bois de Bellecoste » (2), « Sous la Tête de Boeuf ». Prendre à droite direction "Col de l'Aigle". Au « Col de l’Aigle », retour à « Mas de La Barque » par « Sous la Tête de Boeuf », « Bois de Bellecoste ».
Balade extraite du cartoguide Mont Lozère – Pays des sources – Sommet des Cévennes, mis en œuvre par le Pôle de pleine nature du mont Lozère.
Profil altimétrique
Recommandations
Accès routiers et parkings
Depuis Génolhac, par la D 362 puis D66 (30 mn)
Stationnement :