L'Aves
Hameau de Castagnols
Hameau de Castagnols - nathalie.thomas
Vialas

L'Aves

Architecture et Village
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Sur le versant opposé à Vialas ou « avès », découverte des hameaux qui préexistaient au village.

Un patrimoine riche à découvrir, entre les hameaux à l'architecture typique, le landart dans les murs de pierre sèche , le moulin Bonijol, restauré par des passionnés et amoureux de la pierre !


Les 35 patrimoines à découvrir

  • Eau et Géologie

    Eau

    Les ouvrages pour prélever, transporter ou stocker l’eau sont nombreux. Il existe des galeries horizontales dites « mines » creusées pour capter les sources, de nombreux canaux d’irrigation, dérivant l’eau des ruisseaux, appelés béals, des réservoirs ou « boutades »... De nombreux moulins à eau étaient utilisés pour extraire l’huile de noix, fouler le chanvre, moudre le seigle, piser (décortiquer) les châtaignes… 

    Panneau n°8

  • Vialas
    Vialas - N Thomas
    Histoire et Culture

    Le village et son histoire

    À la fin du Moyen-Âge, Vialas n’est qu’un hameau de Castagnols, paroisse de la seigneurie de Montclar dont le château occupe les hauteurs du Chastelas. En 1886, l’affectation du temple au culte catholique et l’abandon de l’église de Castagnols déterminent le déplacement du chef-lieu de la paroisse à Vialas. Jusqu’au début du XXe siècle, la vie économique repose essentiellement sur l’agriculture et l’exploitation des mines de plomb argentifère.

    Panneau n°1

  • Histoire et Culture

    Château

    Domaine rural dont la superficie s’étendait du ruisseau du Luech au rocher de La Fare, le château est mentionné dès 1364 sous le nom de Mas de Roussel.  En raison du climat agréable et de la qualité de l’air, dus à l’altitude, des pasteurs nîmois, des médecins et des dames de l’Eglise réformée de Nîmes y implantent en 1886, un preventorium (traitement préventif de la tuberculose)

    Panneau n°13

  • Rocher du Trenze et Vialas
    Rocher du Trenze et Vialas - © Olivier Prohin
    Histoire et Culture

    Architecture du paysage

    Soutenant des terrasses appelées  « bancels » ou « faïsses », où on cultivait des fruits et des légumes, du seigle et des châtaigniers, ces murs retenaient la terre et orientaient l’eau de ruissellement. Plus haut, des prés pentus fauchés à la main fournissaient le foin que l’on descendait dans les hameaux, au XIXe siècle, au moyen de câbles.

    Panneau n°9

  • Histoire et Culture

    Les Esparnettes

    Ce quartier se situe à l’emplacement des
    « terres paranettes », c'est-à-dire des terres non cultivées, faisant jadis partie du domaine du château. Avec l’exploitation des mines, la population augmente : les maisons remplacent les jardins et sont construites en hauteur. Le quartier actuel s’étend du début de la rue jusqu'à l’église.

    Panneau n°12

  • Cols et Sommets

    Évolution du paysage

    Le schéma d’évolution du village qui figure sur le panneau a été réalisé en rapprochant le compoix (document de base de la fiscalité entre le XIVe et le XVIIe siècle), les cadastres napoléoniens de 1815 et 1830 et le cadastre actuel…

    Panneau n°11

  • © E. Balaye
    Histoire et Culture

    Sur le carreau

    Aux sorties des principales galeries d’exploitation de la galène se trouvaient plusieurs places et couloirs de tri tels que ceux-ci.
  • Vestige du site industriel du Bocard
    Vestige du site industriel du Bocard - @ Olivier Prohin
    Histoire et Culture

    Mine de plomb argentifère

    La première exploitation daterait de l’époque gallo-romaine. Le filon de plomb argentifère est redécouvert en 1781 et exploité jusqu’en 1894. Le minerai est d’abord transporté à l’usine de Villefort, par le col de Montclar. Puis en 1827, une fonderie s’installe à Vialas pour traiter le minerai sur place.

    Panneau n°10

  • Polimies Hautes
    Polimies Hautes - nathalie.thomas
    Architecture et Village

    Les hameaux de Libourette et des Polimies Hautes

    Les deux hameaux sont déjà mentionnés dans des textes qui datent du début du XIVe siècle. Au-delà des très belles habitations bâties en schiste, pierre locale, les éléments architecturaux caractéristiques de ces deux hameaux typiquement cévenols sont remarquables. Une fois sur le plateau, le contraste est saisissant : le granite succède au schiste, presque sans transition !
  • Fonderie
    Fonderie - © Eddie Balaye
    Histoire et Culture

    Ca chauffe!

    La fonderie a été installée en 1827, puis modifiée et agrandie en 1860. Les schlichs arrivaient à la fonderie pour subir le traitement métallurgique, ultime processus qui permettait d’obtenir de l’argent pur. Il fallait d’abord séparer le métal, c’est-à-dire le plomb argentifère, de la galène. Pour cela on procédait à un grillage au four à réverbère puis à une fonte au four à manche. On obtenait alors du plomb porteur d’argent, appelé plomb d’œuvre. Il fallait ensuite séparer le plomb de l’argent qu’il contenait grâce à la coupellation qui permettait d’obtenir successivement différents produits. En 1847, Vialas produisait un quart de l’argent français.
  • Cheminée de l'usine du bocard
    Cheminée de l'usine du bocard - © Olivier Prohin
    Histoire et Culture

    Partir en fumée

    Les fumées émises étaient évacuées le plus loin possible de l’usine. Mais elles comportaient des particules de plomb et d’argent qui étaient récupérées grâce à une « chambre à sacs », présente à l’angle de la cheminée, en bordure du sentier. A travers ces «sacs», les particules d’argent et de plomb, plus lourdes que les autres composants des fumées, restaient enfermées. L’argent partait en diligence vers Paris, le plomb et les autres produits partaient en charrettes, puis en train jusqu’à Beaucaire.
  • Sentier vers la mine
    Sentier vers la mine - © E. Balaye
    Histoire et Culture

    On recrute!

    Durant le XIXe siècle, le statut de mineur offrait plus d’avantages que celui de paysan : on obtenait son salaire directement. L’usine de Vialas, comme les entreprises de son époque, avait développé des politiques paternalistes qui ont conduit à l’abandon du statut de paysan et à la prolétarisation de son personnel. A son apogée en 1866, l’usine compte 522 employés répartis sur plusieurs postes. Les difficultés de l’entreprise dès la fin du XIXe siècle ont eu des répercussions sur la démographie de la commune. Elle perd, en une cinquantaine d’années, près de 40% de sa population qui migre probablement vers les bassins miniers d’Alès.
  • Fonderie
    Fonderie - © Olivier Prohin
    Architecture et Village

    Organisation de l'usine

    L’usine se trouve en contre-bas. Elle a pris le nom de Bocard en référence à l’une des machines particulièrement bruyantes qui permettait de broyer le minerai. Face à vous, une grande partie des ateliers de préparation mécanique a été détruite. Ces bâtiments abritaient au premier étage des logements pour le personnel. Leur organisation était conditionnée par le parcours de l’eau. Cette dernière était la principale force motrice des machines de l’usine et causait de fortes perturbations lors des périodes de sécheresse ou de gel.
  • Voûte support de l'usine du Bocard
    Voûte support de l'usine du Bocard - © Olivier Prohin
    Architecture et Village

    Couvrez tout!

    L’espace disponible dans cette vallée n’était pas assez important pour installer une usine. Pour gagner de la place, on a couvert l’usine avec une voûte, créant ainsi un espace plat. Composée de plusieurs tronçons et réalisée avec de petits blocs de pierres de schistes, elle recouvre le ruisseau de La Picadière sur près de 100 mètres. L’eau du ruisseau ne servait pas à actionner les machines car son débit est trop irrégulier. On déviait une partie des eaux du Luech pour alimenter l’usine.
  • © E. Balaye
    Histoire et Culture

    La préparation mécanique

    Cette opération sert à retirer le maximum de parties stériles pour ne conserver que les parties les plus riches en minerais prêtes à fondre que l’on appelait les schlichs. Plusieurs machines ont été utilisées à des époques différentes pour broyer puis classer le minerai en fonction de sa taille et de sa densité : plus le minerai est riche, plus il est lourd.
  • La mine au bois dormant
    La mine au bois dormant - © Olivier Prohin
    Histoire et Culture

    La mine au bois dormant

    C’est un véritable «trou de verdure», source littéraire pour Jean-Pierre Chabrol qui s’en est inspiré pour écrire le premier chapitre de son roman La Gueuse, intitulé «La mine au bois dormant». Régulièrement entretenu par l’association du Filon des Anciens, la suppression des ronces laisse apparaître des éléments oubliés comme le canal d’amenée des eaux que vous apercevrez en contrebas du chemin au bord de l’usine. L’entretien régulier du site permet une préservation de ce patrimoine exceptionnel et la redécouverte de nombreux éléments.
  • Le Hameau de Rieutort
    Le Hameau de Rieutort - otcevennesmontlozere
    Histoire et Culture

    Le Moulin de Rieutort

     À Rieutort (qui signifie « ruisseau tordu »), il y avait un moulin à farine et un moulin drapier ou « paraudier ». Au XVIIe siècle, des toiles de « cadis » étaient faites à partir de laines cardées, filées, tissées et enfin foulées dans l'eau froide du moulin. C'était une toile raide que l'on utilisait pour faire des habits inusables. La profession de « molinier de drap » disparaîtra à l'âge d'or de la soie. 

  • © E. Balaye
    Eau et Géologie

    Le bon filon

    Toutes les roches sont des minéraux mais certaines sont considérées comme des minerais car elles sont porteuses d’un métal ou d’une matière précieuse. Dès lors qu’on exploite ce minéral pour le métal qu’il contient, on parle de minerai. La galène est un minerai qui se présente sous la forme de filons et qui contient du plomb. Ce n’est pas le plomb qui est exploité à Vialas mais l’argent : lors de la formation des filons, il se produit une substitution d’atome qui fait naître du plomb porteur d’argent : le plomb argentifère.
  • entrée de galerie
    entrée de galerie - © E. Balaye
    Histoire et Culture

    A l'abattage!

    Au moment de la découverte des filons, en 1781, personne n’avait le souvenir d’une ancienne activité minière à Vialas. Pourtant, d’après le directeur de l’époque, certaines galeries présentaient des traces d’exploitation par le feu. Cette technique utilisée depuis la préhistoire consiste à chauffer les parois pour faire éclater la roche. C’est pour cela que l’un des filons serait appelé «des anciens». Les preuves manquent aujourd’hui pour d’affirmer qu’il y a eu une exploitation avant le XVIIIe siècle.
  • Castagnols
    Castagnols - nathalie.thomas
    Histoire et Culture

    Castagnols

    (origine : châtaigneraie).
    Village important bien avant Vialas, proche d'un grand axe de communication sur les crêtes, Castagnols était le chef-lieu de la paroisse jusqu'en 1684. Les chanoines du chapitre collégial de Bédoues bénéficiaient du revenu considérable de son prieuré, fondé par Guillaume de Grimoard devenu le Pape Urbain V.Par la suite, les habitants de Castagnols se sont engagés fortement dans la Réforme. L'église a été brûlée à l'époque des Camisards. Après 1970, des amoureux des Cévennes ont remonté les ruines.

  • Inscription des prisonnières huguenotes (Tour de Constance)
    Inscription des prisonnières huguenotes (Tour de Constance)
    Histoire et Culture

    Au temps des Camisards

    Le cimetière renferme des tombes de protestants, dont la religion est interdite après la Révocation de l’édit de Nantes jusqu’à la Révolution,et qui ont été réduits à enterrer leurs morts dans leur propriété privée. Le hameau de l'Espinas compte parmi les lieux de mémoire de la «Guerre des Camisards» (1702-1704), révolte des protestants cévenols contre le pouvoir royal catholique.
  • Escalier contemporain
    Escalier contemporain - PNC
    Eau et Géologie

    L'eau canalisée

    De nombreux ouvrages hydrauliques permettent de canaliser
    les eaux de ruissellement et d’éviter la destruction des murs de soutènement lors de fortes précipitations. Ces aménagements requièrent des techniques de construction en pierres sèches particulières qui permettent à l’eau de s’infiltrer tout en résistant à son passage.
  • Relais de l'Espinas
    Relais de l'Espinas - Relais de l'Espinas
    Architecture et Village

    Hameau de L'Espinas

    Implanté sur une voie de communication utilisée à travers les siècles, le hameau de l’Espinas servait de relais d’étape pour les voyageurs et transhumants qui circulaient entre les plaines et les pâturages d’altitude. Il est situé sur l’une des branches de la draille de Jalcreste, chemin de transhumance ancestral empruntant la crête.
  • © A.Waterschoot
    Agriculture et Elevage

    Un peu de repérage

    Ce sentier se situe à environ 900 mètres d’altitude ce qui correspond localement à la limite d’altitude où l’on peut trouver le châtaignier aujourd’hui. Le châtaignier s’impose comme l’une des rares possibilités de culture nourricière dans les pentes incultes où il se développe. On estime que 1500 hectares de la châtaigneraie cévenole sont récoltés chaque année, soit 4% de la surface totale.
  • Stagiaire en exercice
    Stagiaire en exercice - ABPS
    Architecture et Village

    Une technique d'avenir

    Aujourd’hui, la technique de la pierre sèche est remise à l’honneur grâce à ses qualités de souplesse, de drainage et son rôle dans la prévention de l’érosion des sols et des inondations. Respectueuse de l'environnement, économe en énergie et fondée sur un riche patrimoine légué par nos ancêtres, la technique de construction en pierre sèche est promise à un bel avenir.
  • Table d'orientation vers le mont Lozère
    Table d'orientation vers le mont Lozère - Eddie BALAYE
    Cols et Sommets

    Paysages du mont Lozère et des Cévennes

    Vers le nord, un paysage de schiste et de granite se déploie vers le nord, sur la vallée du Luech et l’extrémité orientale du mont Lozère. Vers le sud, les Cévennes s’étendent de la plaine d’Alès à l’est au massif de l’Aigoual à l’ouest. Elles forment une succession de crêtes et de vallées, sont dominées par le mont Aigoual (1565 m) et constituent les premiers reliefs en provenance de la Méditerranée.
  • © A. Bouissou/TERRA
    Agriculture et Elevage

    La châtaigne en Cévennes

    Comme la majorité des châtaigneraies cévenoles, celle de l’Espinas a été laissée à l’abandon après l’exode rural du XXe siècle. Depuis une vingtaine d’années, la culture du châtaignier connaît une nouvelle dynamique. Ici, vous ne découvrez pas un verger en pleine production mais une châtaigneraie en cours de restauration progressive.
  • Moulin de Bonijol
    Moulin de Bonijol - nathalie.thomas
    Architecture et Village

    Moulin Bonijol

    Situé sur une parcelle de la propriété Bonijol, ce moulin fait partie du hameau de Figeirolles. Une association créée en 2000, restaure ce site et l'anime. Sa particularité d'être un moulin de montagne, le rend d'autant plus remarquable. Son fonctionnement est rendu possible par un ingénieux système de construction, pour récolter et stocker l'eau. Il possède deux jeux de meule, un pour la farine de châtaigne, l'autre pour la farine de seigle. (www.moulinbonijol.fr)
  • Eau et Géologie

    Roches

    Le granite est parcouru de plusieurs petites fissures, les diaclases. C’est par là que l’eau s’est infiltrée et a dégradé la roche. L’érosion a emporté les cristaux, formant des boules que l’on appelle chaos granitiques. Les schistes situés au-dessus se sont redressés et ont ensuite été érodés, laissant par endroits le seul granite apparent. La commune de Vialas se situe sur la limite entre les deux roches, ce qui offre des paysages et des architectures assez différentes.

    Panneau n°5

  • Le temple
    Le temple - nathalie.thomas
    Histoire et Culture

    Temple

    Vialas faisait partie à l’origine de la paroisse catholique de Castagnols. À la suite de l’Édit de Nantes, en 1598, les protestants sont libres d’exercer leur culte. Dès 1612, le seigneur de La Fare leur cède un terrain pour y construire le temple… En 1686, après la Révocation de l’Édit de Nantes, le temple est affecté au culte catholique, ce qui permet de conserver l’édifice en état. En 1804, le temple est rendu aux protestants mais le cimetière reste catholique. 

    Panneau n°6

  • Architecture et Village

    Vialas

    Le Temple: en 1612, la communauté protestante fit édifier ce temple à ses frais, à plusieurs kilomètres de Castagnols. Donné aux catholiques avant la révocation de l'édit de Nantes, il échappa de ce fait à la destruction des temples cévenols. Les protestants ont retrouvé leur temple en 1804.
    Le collège: en 1889, après les lois Jules Ferry, l'école primaire à deux classes a été complétée par un cours d'enseignement supérieur. Pour la première fois en Lozère, un cours complémentaire ouvrait ses portes. En 2005, le collège doté d'un internat accueille 60 élèves venus de toute la région.

  • Histoire et Culture

    Foiral

    C’est là, en contrebas de la route, que cinq fois dans l’année, entre mars et novembre, se tiennent les foires… Dans ce quartier, on peut également observer, au dernier étage des maisons, des « fenestrons », petites fenêtres permettant l’aération des magnaneries, lieu où l’on « éduquait » les vers à soie. On y montait les feuilles de mûrier grâce à des poulies.

    Panneau n°2

  • Histoire et Culture

    Terras

    Les premiers habitants de Vialas s'installent dans ce quartier autour d’une maison plus ancienne occupée au XIVe siècle par les seigneurs du lieu : les Montclar. La pluie et le passage quotidien des troupeaux ayant érodé cet espace, un mur de soutènement est construit au dessus de la route actuelle au XVe siècle formant un terre plein (terras) … C’est aujourd’hui la place du monument aux morts.

    Panneau n°3

  • Histoire et Culture

    Hôtel Chantoiseau

    Ancien relais de poste, cet édifice est agrandi par ses propriétaires successifs à la fin du XIXe siècle pour accueillir notamment les français et étrangers venus consulter le guérisseur Cyprien Vignes. Depuis les années 1960, l’hôtel a pris le nom du quartier proche de« Chantoiseau ».

    Panneau n°4

  • Histoire et Culture

    Collège

    Dès 1886, le conseil municipal projette de créer un groupe scolaire comprenant une classe enfantine, une école primaire pour les garçons, une pour les filles, ainsi qu’un cours complémentaire pour recevoir les enfants de tout le canton après le certificat d’études. Ce cours complémentaire devient un collège en 1976.

    Panneau n°7


Description

Le long de l’itinéraire, des poteaux directionnels vous guident ainsi qu’un balisage de peinture jaune. Les lieux-dits et/ou les directions à suivre sont indiqués en italique gras et entre guillemets dans le descriptif ci-dessous :

Au départ de « Vialas », prendre la direction de « Castagnols » par « Place de l’Ancienne Gendarmerie », « La Vigne », « Plagette », « Lou Devez », « La Tranchée ». À « Castagnols » retour sur « Vialas » par « Le Pradet », « Le Luech », « Le Crépon », « Fontaine du Foirail ».

Balade extraite du cartoguide Mont Lozère – Pays des sources, Sommet des Cévennes, mise en œuvre par le Pôle de pleine nature du Mont Lozère.
  • Départ : Entrée de Vialas (en venant du Pont-de-Montvert- Sud-Mont-Lozère)
  • Arrivée : Entrée de Vialas (en venant du Pont-de-Montvert- Sud-Mont-Lozère)
  • Communes traversées : Vialas

Profil altimétrique


Recommandations

Pas de difficulté particulière. Adaptez votre équipement aux conditions météo du jour. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante, de bonnes chaussures et un chapeau. Refermez bien les clôtures et les portillons. Possibilité de raccourci par le valat du Colombert.
En coeur de parc
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour

Lieux de renseignement

Maison du tourisme et du Parc national, Florac

Place de l'ancienne gare, N106, 48400 Florac-trois-rivières

https://www.cevennes-gorges-du-tarn.cominfo@cevennes-parcnational.fr04 66 45 01 14
La Maison du tourisme et du Parc national des Cévennes est installée dans le bâtiment renové de l'ancienne gare en bordure de la N106. C'est un espace , d’accueil, d'information et de sensibilisation sur l'offre de découverte du territoire, ainsi que sur les règles à adopter en cœur de Parc, mutualisé entre les équipes de l'office de tourisme et du Parc.
Une expo interactive présente le Parc national des Cévennes et ses actions. 

Sur place :  Une boutique, librairie découverte et  produits siglés PNC.
Ouvert toute l'année (se renseigner sur les jours et horaires en saison hivernale).
En savoir plus

Office de tourisme Des Cévennes au mont Lozère, Le Pont-de-Montvert

le Quai, 48220 Le Pont de Montvert sud mont-Lozère

https://www.cevennes-montlozere.com/info@cevennes-montlozere.com04 66 45 81 94
Les relais d'information sont des offices de tourisme ou sites partenaires du Parc national des Cévennes, qui ont pour mission l'information et la sensibilisation sur l'offre de découverte et d'animations ainsi que les règles à adopter en cœur de Parc. 

Ouvert toute l'année (se renseigner pour les jours et horaires d'ouverture en période hivernale)
En savoir plus

Accès routiers et parkings

De Génolhac ou du Pont-de-Montvert, D998 en direction de Vialas

Stationnement :

Parking de Vialas

Source

CC des Cévennes au Mont Lozèrehttp://www.cevennes-mont-lozere.fr/
Parc national des Cévenneshttp://www.cevennes-parcnational.fr/
Pôle pleine nature Mont Lozère